La route sablée des Flandres

Salut les filles,

Aujourd'hui, nous postons la critique (constructive bien entendu) d’un livre extraordinaire : La route des Flandres. Jamais ouvrage n’avait connu telle postérité.

Cette fabuleuse réécriture du célèbre roman d’Alberto Morania (porté à l’écran, sur cet écran, par Godard qui l’a transformé en merveilleuse histoire d’amour dans un décor tragique) possède un illustre avantage : aussitôt lue, aussitôt oubliée. Si bien que vous avez la délicieuse sensation de découvrir un nouveau roman à chaque fois que vous relisez l’incipit, voire plus. Cette innovation a d’ailleurs valu le prix Nobel à son gentil auteur, Claude Simon.

Lieu capital dans l'avancée de l'intrigue

La thématique de la marche est omniprésente dans cette histoire qui n’est pas une histoire et qui ne mène nulle part, enfin chacun son avis, les goûts et les couleurs, ça ne se discutent pas comme le rappelle si bien Makeuppadict57 dans son ouvrage : « Comment cacher votre herpes avec les produits MAC, et éviter le crease avec le violet de la palette circus XX flashbury500 de chez Nix». Nous ne forçons personne à adhérer à nos propos pertinents.

Reconnaissons tout de même, malgré la canicule, que la ponctuation est aussi bien dosée que les ingrédients d’un clafouti improvisé, ce qui confère un érotisme rare aux étapes phares du livre, et tient le liseur dans un état d’excitation telle qu’il se surprend à souhaiter une adaptation cinématographique avec la jeune Arielle Dombasle, à la prothèse mammaire si réussie qu’on la croirait taillée par Phidias même, et Michel Piccoli au torse en poils de brebis et aux cils dramatiques, dans les rôles secondaires.

Michel Simon, un homme propulsé sur le devant de la scène et qui malgré son immense notoriété, a su resté simple

Livre préféré de Julie Z. (Zenatti), il saura vous emballer, car nous même, critiques intransigeants nous étions trop saucés (malgré une fin pas tip top qui nous a un peu laissé sur notre fin, rires)

Et nous sommes soulagés de voir que la relève est assurée côté littérature par sa brillante descendante, nous avons nommé la délicate Lucile Simon.

A bon écouteur, salut !

Le revolver

PS : Si vous avez aimé la Route des Flandres, jetez vous sur les Tusculanes de Cicéron.