Deux ichtyostèges viragos et homozygotes
Wall-E
Aller voir un film "pour enfant" : Pari osé pour deux étudiants en lettres antiques doublées de méthaphysico-théologo-cosmolonigologie.
C'est non sans réticenses que Sabine et Jean-Charles attendaient le nouveau bébé des studios Pixar, nous avons nommé Wall-E.
La portée didactique de ce film d'animation est tournée vers l'avenir, faisant écho à l'oeuvre du grand Aldous Huxley, Le Meilleur Des Mondes persuadant les spectateur de s'interresser à l'avenir écologique de notre jolie planète. Outre ce message, l'intrigue amoureuse entre le généreux Wall-E et la douce Eve (référence explicite et pour le moins osée à la Genèse) n'est pas sans nous rappeler la belle idylle entre Rose et Jack qui nous a tous fait pleurer dans ce film aux 20 millions d'entrée, nous avons nommé Titanic. La bande originale regorgeait d'émotion, serrait les coeurs et assèchait les gorges. Nous avons pu aussi y découvrir un remède efficace à la falta de communication, le manque de communication, comme on dit en Espagnol.
On en ressort grandit, tout simplement.
Merci au Cyrano pour cette avant première haute en couleur, qui nous a gardé jusqu'au dernier instant, si ce n'est jusqu'au jugement dernier.
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